Auteur : Jean-Paul Diderlaurent
Edition : Au Diable Vauvert
160 pages
Date de parution : 10/09/2015
Prix : 15 €
La quatre de couv'
Pour tromper l'ennui lors des confessions, un prêtre s'adonne à un penchant secret. Une jeune femme trouve l'amour aux caisse d'un péage. Pendant la guerre, un bouleau blanc sauve un soldat. Un vieux graphologue se met en quête de l'écriture la plus noire. Une fois l'an, une dame-pipi déverrouille la cabine numéro huit...
Pourquoi ce livre
J'ai acquis ce livre après mon énorme coup de cœur pour Le liseur du 6h27 du même auteur. Une fois de plus j'ai été envoûtée par cette écriture si particulière. Des nouvelles de quelques pages qui ne vous laisseront pas indifférentes !
Cet ouvrage compile onze nouvelles, nous permettant de découvrir des histoires de vie atypique ou simplement un moment onirique d'une vie banale d'une ribambelle de personnages multiples et uniques.
Avec joie et douceur l'auteur dépeint un monde plein de contraste, de petits plaisirs, de tristesse, de nostalgie et surtout de poésie !
A contrario, avec violence et froideur, certaines histoires vont saisiront d'horreur vous faisant couler des sueurs froides. La noirceur sans fond de l'âme humaine vous dégoûtera au plus haut point.
En lisant chacune de ces nouvelles j'ai eu l'impression d'entendre les confidences des personnages murmurant au creux de mon oreille les moments marquants de leur vie (pour le pire et le meilleur).
Une palette d'émotions vous saisira à la lecture de ce petit roman charmant et dérangeant.
A lire sans a priori et en priorité !
Extrait
" In nomine Tetris"
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